L’éco-conduite pour les professionnels du transport routier : Partie 2/2.

Dans un précédent article, nous avions énoncé quelques astuces pour une conduite plus responsable et plus respectueuse de notre jolie planète bleue. Cependant, d’autres mesures peuvent également être de mise pour amplifier encore un effort bien nécessaire et participer ainsi à la sauvegarde de l’environnement.
Focus sur quelques gestes à adopter d’urgence !

Une conduite douce et non agressive.

En premier lieu, il est important d’opter autant que faire se peut pour une conduite douce et non agressive. Car au contraire d’une conduite dite « nerveuse » (c’est-à-dire comprenant notamment de brusques accélérations et freinages), la conduite douce permet de réduire jusqu’à 40% la consommation de carburant ; ce qui diminuera d’autant plus votre taux d’émission de CO2 et de particules fines. Une véritable main tendue pour la planète et ses habitants, puisque ces dernières seraient responsables de plus de 4000 décès par an au cœur de l’Hexagone … Un chiffre colossal qui pourrait être endigué grâce à davantage de quiétude au volant. Sans compter qu’un comportement moins agressif aurait également le bénéfice d’éviter toute conduite dangereuse et par conséquent ; de minimiser le nombre d’accidents provoqués par ce type d’attitude. Et de rendre le temps passé sur la route plus agréable pour tous …

Un freinage anticipé.

Dans le même ordre d’idées, un freinage anticipé aide tout à la fois à prémunir son véhicule contre l’usure, à éviter les accidents dus à un freinage trop tardif et à réduire son impact sur l’environnement. Or, pour ce faire, il suffit tout simplement de rester concentré sur la route et de ne pas quitter celle-ci des yeux en regardant loin devant soit. Ce qui permet de voir les éventuels ralentissements et virages bien avant d’y être réellement confrontés. Et de pouvoir adopter la conduite adaptée.

Un moteur complètement coupé à l’arrêt.

Enfin, cela peut semble évident ; mais l’un des gestes favoris de l’éco-conducteur n’est autre que celui de couper le moteur lors de tout arrêt, y compris court. Certes, la manœuvre peut sembler être une perte de temps, surtout lorsque l’on espère repartir rapidement. Mais en réalité, ce n’est jamais le cas lorsque l’on est pris dans les embouteillages. Et l’on dépense inutilement du carburant tout en émettant davantage de gaz nocif pour la couche d’ozone. Mieux vaut alors prendre son mal en patience et couper le moteur quelques instants. Et ce d’autant plus que, contrairement à la croyance communément répandue ; couper le moteur n’endommage pas le véhicule !

Alors ne vous privez pas de ces quelques gestes, l’environnement vous remerciera !

Cet article est une contribution libre rédigée par un auteur partenaire et non par la société elle-même.